Artiste peintre expressioniste.
Louis Delmas est né en 1932.
Sa carrière commence officiellement en 1965 par la peinture figurative, huile, encre de chine et mine de plomb.
En 1957 : exposition avec la participation des conseils de Dali
En 1973 : étudie avec César. Les coulées de métaux verront le jour en 1973 qui évolueront vers les coulées de métaux sur variations de couleur (procédé unique en France)
Membre de l’ordre des Artistes Créateurs
Prix de France et d’Europe
Ancien élève des Beaux-arts et de l’école supérieure des Arts
Prix de la presse (master)
Sociétaire du salon des artistes indépendants (expositions à Champeret et au Grand Palais)
Expositions en France et à l’étranger (Russie, Angleterre, Suède) dans les musées, galeries, centres culturels et artistiques.
Musées ayant acquis ses œuvres : Fontveille, Baux de Provence, Salle des trésors de Nôtre-Dame de la Garde à Marseille, St Petersbourg, Moscou
Presse
« Louis Delmas fait couler l’émotion.
Etats-Unis, puis Paris, Marseille, Aix-en-Provence, s’en suivent des rencontres avec les plus grands, tels Dali, Picasso, ou encore Buffet. Sa rencontre avec César, en 1973, marque un tournant, puisque c’est à cette époque qu’il apporte une nouvelle créativité, dite coulée de métaux sur variations de couleur à l’huile.
Nouvelles expositions, nouvelles récompenses, certains musées d’Etat acquièrent alors ses œuvres…. » presse 2007
« Louis Delmas, un si modeste ami des grands
Louis Delmas a deux visages, le paysagiste et le fondeur. Au milieu de ses oliviers, à deux pas d’une vieille roulotte de couleur vert anglais qui recèle des trésors qu’il fait découvrir au compte gouttes, il raconte sa vie d’artiste. Après une vie de bohème à ses débuts, cet Arlésien d’origine à la chance de rencontrer Paul Ricard qui le fait exposer à Méjanes. Il expose ensuite en même temps que Dali à Bandol, rencontre Picasso et apprend beaucoup sur la ligne et le trait avec Bernard Buffet.
« Les artistes, dit-il, c’est comme une famille, on se soutient » Il rencontre le sculpteur César au musée Réattu et, ensemble, ils se lancent dans des coulées de métaux qu’ils présenteront au Festival de Cannes. En fait, ils mettent plus de quatre ans pour trouver l’harmonie entre les couleurs de leur fond de toile et les coulées de métal. Car ces coulées sont uniques en France sur un fond de peinture à l’huile tracée avec un pinceau japonais, elles sont calculées d’une façon beaucoup plus scientifique qu’il n’y paraît et l’harmonie est telle que les toiles donnent une impression aérienne.
…Louis Delmas peint aussi des paysages de L’Indre, un département dont il est tombé amoureux. Lorsqu’il y réside, il peint autrement que lorsqu’il est dans le sud. L’ensemble de ses tableaux du « Nord » semble un peu plus naïf avec beaucoup de silhouettes de dos dans un paysage champêtre. Mais la recherche créatrice est bien réelle (il a crée son bleu Delmas).
Il a une élève, Marie-Françoise Peyret, en laquelle il croit beaucoup. Louis Delmas emportera quelques unes de ses toiles dans ses bagages vers l’étranger.
Cet artiste qui joue dans la cour des grands tient à exposer dans de petits villages. Cette année, il sera à Saint-Gilles, en septembre. Un personnage d’une désarmante simplicité »
Marie-Odile de DIEULEVEUT (Presse 2007)
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